Alternatives au vélo classique :
Faire du vélo en salle : traduire payer un abonnement très cher, pédaler comme un malade sur un vélo en transpirant beaucoup sans même que le vélo bouge d'un pouce, reprendre sa voiture après un tel effort.
Le vélo couché : pédaler au ras du bitume pour profiter pleinement du paysage. Peu utilisé en ville, donc difficile de passer inaperçu, succès garanti si on veut se faire remarquer.
Je cite wikipedia : Le caractère attractif du fait de la rareté, augmente sa visibilité dans le trafic
Le vélo à assistance électrique : ne pas avoir à pédaler dans les montées, se laisser aller dans les descentes. Du coup, le pédalier devrait être en option. Ne doit jamais tomber en panne sous peine d'avoir à pousser un vélo d'environ 30 kilos.
Le tricycle : assure une certaine stabilité pour les indécis.
Et enfin le tandem : à pratiquer uniquement si vous acceptez d'entendre à chaque carrefour : "y'en a une qui pédale pas derrière".
Commentaires
Concernant la pratique du vélo en salle, jai bien noté le ton ironique de l'auteure de ce blog... Je tiens à apporter des élements de défense de cette pratique :
1/ en pratiquant ainsi le vélo, on ne gêne pas nos amis automobilistes : pas besoin de pistes cyclables qui réduisent la chaussée et où on ne peut se garer qu'au risque de voir sa carosserie rayée par un cycliste furibond
2/ pas d'usure des pneus qui polluent notre environnement
3/ les miroirs présents dans les salles permettent d'améliorer notre technique de pédalage
Voilà
G. RUSSEIL
Président de l'APCES (association pour la promotion du cyclisme en salle)
Monsieur le Président de l'APCES (association pour la promotion du cyclisme en salle),
Malgré le ton légèrement ironique de ma note ci-dessus, je ne voudrais pas que vous vous mépreniez sur mes intentions. Je voudrais juste pointer quelques contradictions dans nos comportements ; ces contradictions, j'en assume moi-même quelques unes ; ainsi, les jours de pluie, j'abandonne mon vélo et j'accepte volontiers que l'on me propose de me raccompagner en voiture.
Au fait, j'ai toujours cru naïvement que les miroirs dans les salles de gym, c'était pour s'admirer.
Madame,
L'APCES lutte contre tous les préjugés qui affectent l'image de notre sport. Et plus particulièrement chez nos confrères du cyclisme en plein-air... Sachez ainsi que nous organisons réguliérement des cyclo-randonnées immobiles. Nous nous réunissons ainsi dans un sous-sol ou autre parking souterrain et pédalons de concert en visionnant un diaporama...le 7 octobre, dans la cave du Printemps nous partirons donc pour un voyage en Andalousie grace au diapos fournies par Mme Durand Jacqueline (prévoir 4 bonnes heures car il y a 1213 diapositives) ainsi que des lunettes de soleil.
Quand à votre pique sur les miroirs des salles de gym, sachez que nous ne sommes pas ce genre de cyclistes en salle : une association concurrente regroupe les pratiquants égocentriques : L' l'ACESFDLC (association des cyclistes en salle fous de leur corps)