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  • Mon 1er week-end CCI

    Nous sommes adhérents de CCI, cyclocamping international, qui est une association de cyclistes voyageurs. Régulièrement, nous recevons des annonces pour participer à des week-ends CCI, histoire de rencontrer d'autres cyclistes voyageurs.

    Depuis fort longtemps, à chaque annonce, Michel lance : "Si on y allait" et invariablement, je réponds "Suis fatiguée, une autre fois".
    Donc, là Michel avait repéré ce week-end du côté de Nantes, et j'avais répondu distraitement "Oui pourquoi pas" et voilà comment sans avoir le temps de réaliser, je me suis retrouvée à pédaler tout le week-end entre Nantes et Clisson, avec une vingtaine de cyclistes-voyageurs, qui non seulement ont parcouru l'Europe, et même plus à vélo, mais continuent le week-end, histoire de prolonger le bonheur de pédaler.

    Entre nous (mais ne le répétez pas), je craignais un peu de tomber sur une bande de fondus du vélo qui annoncent 35 kms sur l'invitation et qui vous obligent à parcourir 70 kms dans l'après-midi sans que vous ayez le temps de poser pied à terre. J'ai été soulagée de constater que le premier arrêt pique-nique était prévu au bout d'une dizaine de kms le long d'une petite rivière tranquille, puis rassurée de voir l'un des cyclistes sortir un hamac et l'accrocher entre 2 arbres pour une sieste. Et puis, Charles nous a expliqué la règle n°1 : chacun est autonome à CCI et fait ce qu'il veut et règle n°2 : seule la règle n°1 est valable.

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    D'ailleurs, Roland avait déjà mis en application la règle n°1 en disparaissant dès les premiers kilomètres pour réapparaitre le soir au camping. D'autres, comme des moineaux, s'éparpillent dans les vignes et picorent le raisin. Chacun son chemin...

    Le lendemain, j'ai pu émerger de mon duvet à 9h00 sans soulever l'indignation des autres, et comme je n'étais même pas en retard (pas d'horaires prévus semble-t-il), j'ai pu prendre le temps de p'tit déjeuner, piquer de la brioche d'un côté, un café de l'autre, un jus d'orange, de la confiture de coings,...

    Et puis, à midi, le p'tit déj étant déjà loin, on s'est encore arrêté pour le pique-nique : 2 heures parce qu'ouvrir les huitres et les déguster, c'est long.

    Ce qui m'étonne le plus, c'est qu'on a fait 70 kms quand même pendant le week-end, mais je me demande quand.

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  • La pire excuse pour ne pas faire du vélo

    J'ai entendu aujourd'hui (véridique) la pire excuse pour ne pas faire du vélo :

    "Je serais bien venu à vélo mais je peux pas car j'ai mis mon pantalon beige"

    En plus c'est l'excuse du secrétaire de l'association VAVALABU que nous avons fondée au mois de juin, association dont le seul but est d'encourager nos collègues à venir travailler à vélo, association qui ne compte d'ailleurs que 2 membres : la Présidente (moi-même) et le Secrétaire (celui qui veut pas salir son pantalon beige).

    Pour ceux qui n'ont pas assisté à la naissance de cette association, voir notre opération petit déjeuner offert.

  • Vélobus

    Des parents qui s'organisent pour accompagner leurs enfants à l'école à vélo, c'est un vélobus. Même chose pour le pédibus. On commence à connaitre le concept qui se développe grâce à l'initiative de quelques parents très courageux, tenaces et convaincus, car il faut vaincre quelques réticences, y compris celles de la force publique. C'est ce que j'ai compris hier soir, alors qu'un parent d'élève nous expliquait sa démarche et demandait l'aide des membres de l'association Vélocité86.

    Ah au fait, il parait qu'on ne peut plus employer le terme pédibus ou vélobus pour en parler car une société a déposé le nom à l'INPI. Pour en faire quoi, une marchandise négociable???

  • Espèce de Vél'ib

    Espèce de Vél'ib : il parait que c'est l'injure suprême à Paris pour les cyclistes qui font n'importe quoi : brûler les feux rouges, prendre les sens interdits, rouler sans les mains, ... bref faire peur aux sages automobilistes.

    Même les cyclistes l'utilisent entre eux.

    Est-ce applicable à Poitiers ? J'en doute : déjà, il faudrait que je rencontre d'autres cyclistes. Mais hélas, je suis seule sur mon parcours (2k500). Il est très rare que je rencontre un(e) autre cycliste. Tellement rare, que lorsque les automobilistes me croisent, ils ont tellement peu l'habitude de croiser un cycliste, les pauvres, qu'ils en oublient le code de la route 1 mètre pour doubler un cycliste et pas 10 cm.

  • De ma fenêtre, je guette la pluie

    Voici la vue (peu engageante) que nous avions presque tous les matins au réveil.

    ...et une décision à prendre : on repart en sens inverse ou on continue le long du Danube ? à vélo, bien sûr.



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  • Découvrir les "Biergarten"

    C'est une caractéristique commune à de nombreux cyclo campeurs : après une journée de vélo, après avoir monté la tente, pris une douche, on cherche un endroit pour prendre une bière.
    En Allemagne, nous avons très vite repéré des pancartes indiquant "Biergarten", donc d'après nous "Jardin à bière". Idéal pour une pause détente dans un cadre assez détendu et informel : un pré, un jardin, un verger comme ici sur la photo, quelques bancs.

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    Petite explication (en français) sur ce que sont les Biergarten ici, ou ici.