Vu ce matin avenue John Fitzgerald Kennedy à Poitiers, 3 voitures pour un sas vélo !
Et encore, en regardant bien, il doit y en avoir une sur le passage piétons, tant qu'à faire!
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Vu ce matin avenue John Fitzgerald Kennedy à Poitiers, 3 voitures pour un sas vélo !
Et encore, en regardant bien, il doit y en avoir une sur le passage piétons, tant qu'à faire!
Ce matin, 14 octobre 2015, aux feux de la sortie rue du Pont St Cyprien sur le Boulevard Anatole France à Poitiers vers 8h20.
Et je le mets où mon vélo pour tourner à gauche?
Pour les amis automobilistes à qui cela aurait échappé, une nouvelle loi a fait passer l'amende pour arrêt sur les sas vélo de 35 à 135 €. Deux voitures à 135 € chacune = 270 €.
A part ça, tous les automobilistes respectent scrupuleusement le code de la route!
Eh, vous avez vu, avec plus de 7 km pour mon trajet travail, j’économise 1 450 € par an quand j’utilise mon vélo par rapport à ce que cela me couterais si j’avais une voiture !
Et c’est pas moi qui le dis, c’est l’ADEME.
Et vous aussi vous pouvez voir ce que vous économisez (pour les plus malins) ou économiseriez (pour les moins malins) en roulant à vélo tout simplement en allant sur le site http://quizz.ademe.fr/eco-deplacements/calculette/calculette.html
Et tout ça sans compter les 910 kg de CO2 que je n’émets pas ni les 354 litres d’équivalent pétrole dont je n’ai pas besoin.
Et si on regarde sur la totalité de mes trajets, soit environ 5 000 km par an à vélo (trajet travail, courses et vacances) l’ADEME dit que c’est plus de 4 000 € par an que j’économise. De quoi payer un super gueuleton à ma chérie, non ? Et même à un peu plus. Faut que j’y pense. Y’a des volontaires ?
Mais qu’est-ce qu’on attend tous pour se mettre au vélo ?
Vu dans la presse il y a quelques jours,
Et pendant ce temps-là que fait-on ?
On met en place la circulation alternée à Paris qui selon la même presse a un réel impact sur le niveau de pollution avec 6 % de particules en moins … 2 ou 3 jours par an soit, au niveau des Parisiens, un niveau négligeable sur la moyenne d’exposition à la pollution sur une année, sans même parler de tous les autres, ceux qui n’ont pas la « chance » de vivre à Paris et n’ont donc même pas le droit à une seule journée de circulation alternée par an..
Et que propose le cardiologue Daniel Thomas, président de la Fédération Française de Cardiologie sur France Inter, le samedi matin 9 mai à 7h15 dans l’émission de Danielle Messager « Carnet de Santé » ? « Favoriser les transports moins polluants, avoir des voitures moins polluantes »…
Mais :
Un tel niveau d’état de catastrophe permanente ne mérite-t-il pas plus de 5 min sur une radio nationale à une heure confidentielle un weekend à rallonge ?
N’a-t-on pas d’autres solutions que de réduire ? Faut-il toujours conserver la voiture comme moyen privilégié de déplacement ? Pourquoi la première réponse (allez, je me contenterais de la deuxième) n’est pas « mettons-nous tous au vélo » ?
A quand un plan national de sauvegarde de 600 000 (six cents milles !) français par le vélo ?
Tant qu’on mettra en avant la voiture comme LA solution pour réduire la pollution c‘est évident qu’on sera à côté de la plaque.
Le vélo, mais est-ce utile de la rappeler, outre le mode de transport à zéro émission, c’est aussi une pratique physique journalière recommandée par toutes les instances de la médecine, c’est un des coûts de déplacement le plus bas, c’est zéro pollution sonore dans la ville ect ect. N’est-ce pas LA solution à mettre en avant et à rendre obligatoire, bien avant de contraindre les producteurs automobiles à réduire de 10% les émissions polluantes et qui ne feront jamais que les réduire ?
Si j’étais un automobiliste je créerais une association que j’appellerais l’Association des Automobilistes pour la Promotion Active de l’Usage de la Bicyclette en Milieu Urbain, la AAPAUBMU quoi. Association dont le but serait de faire ostensiblement du lobbying pour mettre le vélo dans nos ville (mais pas que).
Parce que quand même, en tant qu’automobiliste, à chaque fois qu’un de mes congénères prend son vélo à la place de sa voiture, c’est une voiture en moins en ville et qu’une voiture en moins :
* c’est une circulation plus fluide me permettant à moi, d’exploiter aux mieux les possibilités de mon bolide ;
* c’est une voiture en moins dans la file aux feux devant moi,
* c’est moins de pollution et c’est donc bon pour moi et ma famille (je pense à mes enfants moi !),
* c’est plus de places libres pour garer ma voiture,
* c’est moins de pollution donc moins de maladies et un coût en baisse pour la Sécurité Sociale et c’est donc bon pour mon porte-monnaie,
* c’est moins de dégradation des infrastructures routières, moins de besoin de créer de nouveaux parkings et donc des impôts locaux en moins,
* c’est mon espérance de vie et celle de mes proches qui sont augmentées,
* comme on a moins besoin d’essence, c’est la facture extérieure de la France qui est réduite et ça c’est aussi bon pour mes finances …
Bref, chaque fois qu’il y a une voiture en moins dans la ville, c’est la situation physique et financière de l’automobiliste qui s’améliore. Tout bénèf quoi !
Si bien que je ne comprends pas ce qu’attendent tous les gens qui se pressent aux feux dans leurs voitures, pour promouvoir activement et tout faire pour rendre l’usage de la bicyclette plus attractif dans nos villes.
Je me demande d’ailleurs, vu le peu d’écoute qu’ont les associations de cyclistes urbains dans ce pays, si je ne vais pas reprendre ma voiture tous les jours et créer réellement cette association. Peut-être que la cause des cyclistes serait plus entendue si elle est défendue par ceux qu’on écoute aujourd’hui : les automobilistes !
Sur un même sujet "les cyclistes commettent des infractions", on peut faire deux articles très différents.
L'un est volontairement à charge contre les cyclistes, il n'explique rien, condamne en bloc tous les cyclistes pour leur comportement irresponsable à l'aide de chiffres qui semblent complètement hors de la réalité¹. L'autre est pédagogique, il essaie d'expliquer ce que visiblement la première journaliste n'a pas tenté de comprendre.
Vocivélo s'engage matériellement pour améliorer les déplacements à vélo, aussi appelé vélo utilitaire, sur leur bonne ville de Poitiers en lançant une nouvelle initiative: envoi à notre Maire, d'un livre qui fait référence: ""Le retour de la bicyclette" de Frédéric Héran (que nous recommandons par ailleurs à tous les lecteurs de ce blog et même aux autres).
Vous avez manqué la série "Un été à vélo" ? Nous vous offrons un rattrapage.
Cette série a été proposée par la Nouvelle République. Tout au long de l'été, les journalistes ont accompagné des adeptes du vélo en ville. S'en suit une série de portraits intéressants :
Le cycliste à la cravate, un avocat poitevin qui circule à vélo quotidiennement,
Mickaël, le cycliste à la bécane jaune,
Une étudiante à vélo pour rejoindre son boulot d'été,
Un militant qui roule toujours et encore à vélo,
Le vélo comme mode de vie pour Alice,
Un couple de touristes qui roulent à vélo électrique,
Une mère de famille, deux enfants et un vélo-cargo,
Et puis, une bibliothécaire à vélo :)
Un grand merci au journaliste qui m'a suivi à vélo pour réaliser cette vidéo illustrant mon parcours à vélo travail-domicile.
Une campagne de promotion télévisée vient d'être interdite en Écosse parce que l'un des cyclistes qui y apparait ne porte pas de casque.
La campagne organisée par Cycling Scotland vise à sensibiliser les automobilistes pour qu'ils donnent aux cyclistes le même espace et la même attention qu'ils donneraient aux chevaux :)
J'ai bien compris, isn't it ? "The advert, part of a campaign by Cycling Scotland, seeks to encourage drivers to give cyclists the same space and care as they would give a horse."
Cependant, l'ASA, Advertising Standards Authority, (l'équivalent du BVP je suppose) a interdit la publicité au motif que circuler à vélo sans casque est "socialement irresponsable".
Cycling Scotland rétorque que porter un casque n'est pas obligatoire. C'est un choix personnel, la publicité reflète cet état de fait en montrant des cyclistes avec ou sans casque.
Cycling Scotland rappelle aussi que l'obligation du port du casque a généralement pour effet de dissuader la pratique cycliste en ville, voire induire un comportement moins attentif de la part des automobilistes.
Il était reproché aussi au cycliste de rouler trop loin du trottoir. Étant donné la largeur de la route, Cycling Scotland se défend en expliquant qu'il est plus sûr de ne pas coller au trottoir afin d'être parfaitement visible des automobilistes.
L'ASA, Advertising Standards Authority réfute tous les arguments et évoque le Highway Code, le code de la route applicable en Grande Bretagne, qui recommande le port du casque (mais cela reste facultatif et un choix personnel).
Bref, la publicité est interdite et Cycling Scotland s'inquiète qu'à l'avenir, toute publicité mettant en scène des cyclistes ne soit admise à la seule condition que ceux-ci portent un casque.
Source de l'article BBC News http://www.bbc.co.uk/news/uk-scotland-25926572
On en parle ici aussi et on peut même y voir la publicité interdite de diffusion à la TV http://cyclingeurope.org/2014/01/29/banned-cycling-advert-a-half-baked-judgement-cyclingscotland/
De Londres où nous avons passé quelques jours, nous rapportons quelques photos en relation avec le vélo :
Cette dernière photo n'est à ce jour qu'une utopie imaginée par un architecte, Norman Foster, dont l'idée est de construire un réseau de routes cyclables au-dessus des réseaux de chemin de fer, soit 220 kms d'une route aérienne qui porte déjà le nom de SkyCycle. Avec plus de 200 points d'entrée, cet équipement fournirait divers itinéraires et connexions des banlieues vers le centre, et supporterait un trafic de 12000 cyclistes à l'heure. L'architecte explique comment de tout temps les grands projets d'infrastructure ont permis à la capitale londonienne de s'adapter.
Source : http://www.dezeen.com/2014/01/02/foster-promotes-cycling-utopia-above-londons-railways/
Si l'on osait, on suggèrerait aux poitevins de s'inspirer de cette utopie en transformant l'horrible voie rapide nommée pénétrante en une voie réservée uniquement aux cyclistes.
Article R415-11 du Code de la Route
Modifié par Décret n°2010-1390 du 12 novembre 2010 - art. 17
Tout conducteur est tenu de céder le passage, au besoin en s'arrêtant, au piéton s'engageant régulièrement dans la traversée d'une chaussée ou manifestant clairement l'intention de le faire ou circulant dans une aire piétonne ou une zone de rencontre.
Le fait, pour tout conducteur, de ne pas respecter les règles de priorité fixées au présent article est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.
Tout conducteur coupable de cette infraction encourt également la peine complémentaire de suspension, pour une durée de trois ans au plus, du permis de conduire, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle.
Cette contravention donne lieu de plein droit à la réduction de quatre points du permis de conduire.
Par 3 fois cette semaine, Monsieur Vocivélo s’est arrêté pour laisser passer des piétons soit engagés sur un passage piétons soit « manifestant clairement l’intention de la faire » puisque deux personnes attendaient patiemment au ras du trottoir que les véhicules daignent s’arrêter pour les laisser passer. Et par 3 fois entre 2 et 5 voitures ont complètement ignoré la loi allant même jusqu’à accélérer pour doubler « ce co..ard de cycliste qui s’arrête sans raison au milieu de la rue » mettant ainsi en danger les deux personnes qui avaient déjà les 2 pieds et la canne sur la chaussée. Et il a quasiment fallu que je mette ostensiblement le vélo au milieu de la rue pour, qu’enfin, une première voiture s’arrête.
A part cela les automobilistes poitevins, eux, respectent le code de la route ….
En tous cas cela devrait faire une quarantaine de points qui devraient être retirés sur certains permis, mais quelle injustice ce serait, n'est-ce pas?
Aller à la déchetterie c'est toujours une corvée. Forcément, tout le monde a la même idée au même moment, en général le samedi après-midi. Résultat, une file de voitures attend devant les bennes pour pouvoir déverser branchages, emballages, et autres objets encombrants, provoquant parfois des embouteillages.
Mr Vocivélo préfère déposer ses encombrants à la déchetterie ... à vélo. Il est content, il double tout le monde. Il m'a même invitée à l'accompagner mais j'ai décliné l'invitation, les regards narquois des automobilistes m'intimident.
Notons au passage la remorque qui se prête bien au jeu : une beez de chez beecyclo.
Pour les cyclistes, à Poitiers
On fait les choses à moitié.
Telle pourrait être la devise de la ville puisque après les bandes cyclables effacées et pas (pas encore ?) refaites, il y a un autre sujet qui traine, qui traine, qui traine encore et toujours en longueur : l’application des DSC ou Doubles Sens Cyclables. Ce truc barbare qui a été inventé par les législateurs pour permettre une circulation plus aisée des vélos dans les villes (hé oui, même nos chers députés qui gèrent notre vie de tous les jours, pensent de temps en temps aux usagers de la bicyclette en ville) et qui institue que dorénavant la règle qui s’applique en zone 30 c’est que les vélos peuvent prendre les sens interdits. Une petite restriction quand même, sauf dans le cas où l’autorité en charge de la circulation (le Maire en l’occurrence) prend un arrêté contraire, qu’il doit alors justifier.
Et que dit l’article L411.1 du 30 juillet 2008? Que toutes les zones 30 existantes à cette date devront être mises en conformité avant juillet 2010.
Fort bien, tout ceci me semble des plus limpides, je peux donc prendre toutes les rues en zone 30 en sens interdit quand je suis à vélo ? Et bien non, ce serait trop simple. Il semblerait que pour qu’un sens interdit soit empruntable, il doive être mis en conformité, c’est à dire que ses panneaux « sens interdit » (vous savez le gros rond tout rouge avec un sourire plat et blanc au milieu et même pas d’œil) soient équipés d’un petit rectangle qui dit « Sauf vélo ».
Qu’à cela ne tienne, si la loi dit qu’avant juillet 2010 toutes les rues doivent être mises en conformité, à mi-octobre 2013 elles doivent l’être quand même, non ?
Et bien non, pas à Poitiers en tout cas.
Je vais vous prendre un exemple :
La rue Riffault (située dans la zone 30 de Cœur d’Agglo de Poitiers)
Enfin pour revenir à mon propos du début, quand je disais qu’à Poitiers on ne faisait les choses qu’à moitié pour les cyclistes, ce n’est même pas vrai puisque dans le cas présent, sur les 5 panneaux « Sens interdit » que comporte la rue, seuls 2 sont conformes à la réglementation. Il manque encore un p’tit effort pour pouvoir retenir la nouvelle devise proposée.
Dans la rubrique « Vous avez dit voie cyclable ? » celle-ci fait aussi partie des pratiques standard de la ville de Poitiers :
Épisode n° 1 : On a une belle bande cyclable, avec une belle peinture bien visible et même (cas rare pour qu’il soit positivement souligné) une continuité dans la traversée du carrefour par un damier vert. Presque que le top quoi.
Épisode n° 2 : On fait des travaux, réfection du trottoir, la bande cyclable est remplacée par une tranchée, rien de plus normal, la ville entretient les canalisations, c’est bien, sauf que la bande cyclable elle, a disparu et n’est remplacée par …. rien. Pas la moindre déviation, pas le plus petit panneau pour indiquer aux automobilistes de faire attention aux gentils cyclistes qui n’ont plus leur voie privilégiée (sic) de circulation. Le cycliste se dém…de.
Épisode n° 3 : Les travaux sont finis.
La tranchée est rebouchée, goudronnée. Le passage piétons est re-matérialisé, (on a refait les quelques bandes qui avaient disparu dans la tranchée), on repeint la ligne d’arrêt des voitures au feu, tout ça c’est très bien et normal, sauf que depuis 4 ou 5 mois que les travaux sont finis, la bande pour les vélos n’a toujours pas été refaite et donc les cyclistes eux, continuent de se dém..der.
C’est tout Poitiers ça : priorité aux voitures (les panneaux sont mis au goût du jour, les peintures sont refaites dès que le moindre problème survient), cette fois-ci, le piéton a eu un peu de chance on lui a refait son passage, mais le vélo une fois de plus est le parent pauvre des attentions de la Ville.
Et mon damier qui signalait une traversée de piste cyclable au carrefour a lui aussi disparu.
Et tout ça sur une des voies les plus fréquentées et les plus dangereuses de Poitiers : le carrefour de l’Avenue de Libération et de la Rue de Chilvert.
Les cyclistes des sous-citoyens à Poitiers ? une fois de plus ça se vérifie puisqu'ils arrivent bien après les automobilistes et les piétons dans les préoccupations des techniciens et des élus de la Ville.
Dans la série « Vous avez dit piste cyclable ?» celle-là n’est pas mal non plus :
Il s’agit de la piste (et pour le coup elle porte bien son nom) cyclable qui longe l’Avenue du 11 Novembre à Poitiers, une des voies les plus fréquentée par les automobilistes.
Plutôt que piste cyclable on devrait la baptiser de « Piste d’Entrainement aux Bosses pour VTT » puisque tous les 10 ou 20 mètres elle est traversée par des bosses gigantesques. J’en ai mesurée une à 17 cm ! Pour info, 17 cm c’est près de 2 fois la hauteur d’un bon trottoir, celui que j’ai mesuré dans notre rue ne fait lui que 9 cm environ. Donc emprunter cette piste (signalée comme obligatoire pour les cyclistes) revient à franchir plus d’une vingtaine de fois un double trottoir. Peut-être faut-il acheter un vélo Hummer pour circuler à Poitiers ?
Et dire que c’est (c’était ?) une des seules voies cyclables réellement protégée des automobilistes sur Poitiers !
Cela étant, cette voie est un vrai danger pour les cyclistes et une véritable honte pour la Ville de Poitiers qui pourtant s’enorgueillit d’offrir aux cyclistes poitevins un des plus beaux réseaux cyclables de France, rien de moins que ça. Mais dans quel état ? Personne n’en dit mot.
Je ne sais pas quel conseil donner aux cyclistes qui veulent aller du côté de l’Avenue du 11 Novembre : respectez la loi, empruntez la piste cyclable et tuez-vous en chutant dans cet entrelacs de bosses et de trous ou jouez la sécurité (sic) en roulant sur l’avenue (elle parfaitement lisse et refaite à neuf il y a quelques mois) mais au risque de vous faire écraser par une voiture ou un camion ? A vous de choisir mais je ne me risquerais pas à vous donner un conseil autre que : « évitez ce trajet à tous prix ! » Peut-être serait-il souhaitable avant d’aller faire ses courses au Grand Large (la zone commerciale située le long de cette voie) ou d’y passer pour aller bosser, de consulter son assurance pour choisir ce qui serait le plus avantageux pour son veuf ou sa veuve ?
Les cyclistes des sous-citoyens à Poitiers ? Vu l’état des voies qu’on leur propose, on se demande même si quelqu’un sait ce qu’est un vélo à Poitiers.