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vocivelo - Page 29

  • Mésaventure

    Hier je devais me rendre à Paris pour une réunion professionnelle. J'avais prévu de quitter la maison à 8h30 sachant qu'il me faut 15 minutes pour aller à la gare et 5 minutes pour me garer au parcotrain, ça devait le faire sans problèmes pour le TGV de 9h00. Michel me suggère d'y aller à vélo. Je tergiverse, il faut dire qu'il n'y a pas vraiment d'espace prévu pour les vélos en stationnement, ma tenue vestimentaire est prévue pour une réunion pas pour faire du vélo et puis pour dire la vérité j'ai peur qu'on me le vole.
    Jusqu'au dernier moment, j'hésite et j'opte finalement pour la voiture en pensant que ça sera plus sûr.
    MAUVAIS CHOIX : en arrivant au parcotrain, je découvre une affiche "PARKING COMPLET". Je fais demi-tour, je cherche une place, toutes les places autour de la gare sont limitées à un stationnement de 2 heures et je ne rentre pas avant 20h30. Résultat : je rate mon train et j'appelle Michel au secours.
    Bref, vous voyez la conclusion : Michel a été sympa, il est venu (à vélo!) pour déplacer la voiture avant le PV et j'ai pu assister à ma réunion l'esprit tranquille et même faire du shopping à Paris. Le plus drôle, c'est que j'ai trimballé toute la journée l'antivol de mon vélo qui était resté dans mon sac à dos. C'est lourd un antivol de vélo.

  • le vélo rebelle

    Lu 2 articles très critiques sur le site Rebellyon au sujet de la location de vélo. J'avais jusqu'à aujourd'hui une image plutôt positive de l'expérience menée à Lyon en faveur du vélo. Souvent relayée par la presse en termes élogieux, le point de vue qui est exposé ici et , apporte un autre éclairage.
    Quelques questions :
    - tout d'abord le contrat passé entre Lyon et la société Decaux : des vélos en libre-service contre le marché du mobilier urbain pour une durée de 13 ans. Je ne connais pas suffisamment les règles d'attribution des marchés publics mais est-ce bien légal? Comment s'est déroulé l'appel d'offres? Si Lyon ne renouvelle pas son marché, quid des vélos en libre-service?
    - autre question : la location est-elle vraiment la bonne solution pour inciter les usagers à changer leurs habitudes? qui plus est location d'un vélo inadapté de 22 kilos. A titre de comparaison, mon vélo qui n'est pas spécialement léger pèse 17 kilos.
    - enfin la verbalisation en augmentation des cyclistes notée également à Bordeaux pour des contresens pris à vélo, à Poitiers pour des cyclistes sur voies piétonnes comme à Lyon pour des feux rouges anticipés. Serait-il plus facile de verbaliser un cycliste qui roule à 10-15 km/h qu'un automobiliste en excès de vitesse?

  • Dictionnaire

    Un dictionnaire qui nous sera très utile cet été sur la route de la Mer du Nord : le Bictionary anglais-français-allemand.
    Je le poste également sur mon del.icio.us pour le retrouver facilement.

  • Pourquoi les automobilistes détestent les vélos

    Avant je croyais que l'homme était naturellement bon et que l'automobiliste qui fait partie du genre humain, l'automobiliste donc était naturellement bienveillant envers ceux qui partagent son espace. Et patatras, je me mets à circuler à vélo, et je découvre avec horreur que L'AUTOMOBILISTE DETESTE LES CYCLISTES. Mais pourquoi ????
    Pourquoi ça et aussi ça.

    Et puis j'ai lu cet article : Why drivers really hate cyclists.

    Ainsi, selon Ben Fincham de l'Université de Cardiff, la vraie raison, la raison profonde enfouie dans leur inconscient, c'est que les automobilistes craignent par dessus tout de renverser un vélo, de le blesser et en plus d'en être tenus responsables. Ils détestent les cyclistes qui occupent leur espace, défient les lois et règlements, s'accordent des priorités auxquelles ils n'ont pas le droit, et si jamais il leur arrive quelque chose sur l'espace réservé aux voitures, alors qui sera responsable? QUI? L'automobiliste.

    Mais non me dit Michel, ils sont jaloux car ils voudraient bien en faire autant mais ils ne peuvent pas. Ah bon? ils n'ont pas de vélo chez eux? Si mais ils n'osent pas rouler en ville, c'est trop dangereux et c'est tout.

    Une association de cyclistes lyonnais essaie de clarifier le débat : faut-il passer les cyclistes au kärcher? J'espère que non, ou j'arrête le vélo demain.

  • Faire part

    Il ne demandait rien à personne
    Il traversait dans un passage piétons
    Il n'avait jamais fait de mal à personne
    Il traversait du parc de Blossac vers chez Rémi
    C'était limité à 50 km/h
    Et pourtant il ne verra jamais le soleil de ce 3 mai 2006
    Paix à son esprit

    Les amis du hérison du parc de Blossac

  • Week end orange

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    Week end chargé sur les routes - Ne partez pas après 14 h samedi .... blablabla.
    En fait d'orange notre week end fut vert et jaune et c'est bien ainsi. Pour preuve la route libre à perte de vue devant et derrière Anne. Et le Bison bien que futé s'est transformé en charolaise paisible, en mouton, en âne et même en biche !
    Plutôt que que tasser les voitures sur les auto-routes (ou les bouchons-routes ?) , construisons des vélo-routes: c'est moins cher et bien plus agréable !

  • Parking à vélos

    Un rayon de soleil et les vélos fleurissent devant la Médiathèque de Poitiers.


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  • Voiture à charge

    J'ai craqué hier, j'ai repris la voiture parce que :

    - on avait annoncé de l'orage
    - je devais transporter un pack d'eau (aucun lien avec l'orage annoncé)
    - je voulais porter une jupe, oui mais s'il pleut ce sera pas pratique
    - je devais acheter des fleurs pendant ma pause déjeuner : 1 heure pour l'aller-retour au centre commercial et le sandwich
    - j'étais invitée chez Sandrine dans un quartier que je ne connais pas (un lien avec les fleurs)

    ET

    - il n'a pas plu
    - j'ai mis un jean
    - j'ai oublié le pack d'eau dans ma voiture alors que je dois le déposer dans mon bureau
    - j'ai acheté les fleurs et je me suis aperçue qu'il y en avait aussi de très jolies dans mon jardin

    MORALITE : LA VIE EST PLUS COMPLIQUEE AVEC UNE VOITURE

  • Chers amis cyclistes urbains

    Chers amis cyclistes urbains, : Assez ! STOP ! Arrêtons ! Ça ne peut plus durer !

    Il est temps de prendre conscience du danger que représente l'usage du vélo dans nos rues.

    Plusieurs faits graves me font pousser ce cri d'alarme :

    en préambule, je dois admettre que je ne peux pas arguer de ne pas avoir été prévenu puisque même avant mes premiers tours de volant, le Livret de formation au Code de la Route, dans son édition Sécurité Routière édité par EDISER m'apprenait ceci "vérifiez qu'aucun obstacle (piéton, cycliste ...) n'obligera le véhicule devant vous à se déporter vers la gauche" et donc m'avait prévenu : à partir de maintenant, à vélo ou à pied je ne serai qu'un obstacle !

    · La non discipline des cyclistes est un danger permanent pour les autres utilisateurs de la rue et pour les voitures en particulier. Il n’est pas pensable de continuer ainsi à laisser les vélos griller les feux et les stops quand les automobilistes font tout pour les respecter !
    · Et quand bien même il arriverait à un automobiliste de passer par inadvertance au feu rouge, cette erreur est bien moins dangereuse pour les autres véhicules puisqu’une voiture qui roule à 50 km/h met moins d’une seconde et demie à traverser un carrefour de 20 m contre plus de 7 secondes pour un cycliste à 10 km/h. Etant 5 fois plus longtemps au milieu du carrefour, le cycliste en grillant un feu fait donc courir 5 fois plus de risques d’accident qu’une voiture. Et plus la vitesse de l’automobile augmente (ce qui lui est aisé) plus le risque diminue, alors que le vélo est lui limité et ne pourra jamais prétendre à la célérité de la voiture.
    · Un vélo en ville est par nature instable et fait des écarts sur la chaussée, surtout pendant les phases de démarrage, mettant ainsi en péril la sécurité de son environnement proche.
    · Les fabricants d’automobiles font des efforts conséquents pour minimiser les effets d’un éventuel impact de leurs voitures sur un piéton. Pendant ce temps que proposent les constructeurs de vélo ? Rien ! et si l’on regarde bien, un vélo n’est qu’un ensemble de parties saillantes et contondantes qui vont agresser le piéton sans même avoir besoin d’un choc : pédales dans les chevilles, guidons, poignées de freins et autre garde-boue sont de véritables armes tranchantes en cas d’impact avec un autre utilisateur (piéton ou voiture).
    · Quand ce ne sont pas des rajouts intempestifs tels ces écarteurs que l’on voit fleurir de plus en plus sur toutes les bicyclettes de ville qui sont un véritable danger pour les voitures et qui créent une psychose dans un rayon conséquent autour du vélo. Que dirions-nous si les automobiles s’équipaient de systèmes écarteurs de la largeur du véhicule ? Et que dire de ces porte-bagages avant totalement incongrus en ville et qui ressemblent à des pare-buffles équipant les camions dans la savane. Est-ce pour mieux se débarrasser des piétons ou renforcer leur impact en cas de choc avec une voiture ?
    · Le stationnement en double file est interdit pour les voitures, et d’ailleurs aucun automobiliste ne s’y risque, alors qu’il est autorisé pour les cycles (non munis de side-car il est vrai – article R 417-10 du Code de la Route) ce qui contraint les automobiles à faire un écart pour contourner l’obstacle mettant ainsi en péril leur sécurité et celle des autres usagers.
    · Parlons maintenant du casque : certains veulent le rendre obligatoire pour protéger les cyclistes, or il est clair que ce casque deviendrait un bélier supplémentaire en cas de choc, aggravant encore les conséquences pour la voiture. Combien de pare-brises éclatés faudra-t-il avoir eu avant de l'interdire ?
    · Nos constructeurs automobiles font preuve de la plus grande ingéniosité pour rendre toujours plus sûr l’environnement de la voiture (ABS, EPS, limiteurs de vitesse pour un plus grand confort de conduite …) alors que encore une fois sur les vélos rien n’est fait. Pas le moindre détecteur de voiture en danger, pas le moindre avertisseur de risque même en option alors que se généralisent sur nos voitures les détecteurs de danger (piétons et cyclistes, trottoirs…) qui pourraient mettre la sécurité de l’automobiliste en jeu !
    "Quand la classe S se surpasse ... avec un système de visualisation automatique qui se charge de prévenir le conducteur des dangers potentiels (cycliste, piéton..)" Auto-Journal n° 675 de Juin 2005.
    · Dû à sa faible vitesse, le cycliste ralentit les échanges dans la ville et par là même, l’économie de notre pays. Combien de fois n’avons nous pas fait perdre son poste à un employé arrivé en retard à son travail ? ou un marché à cet artisan qui n’a pu rendre son devis à l’heure car nous l'avons freiné au guidon de nos machines ?
    · Le permis de conduire. Certains esprits bien pensant demandent que le même barème de retraits de points du permis s'applique aux cyclistes et aux automobilistes ayant commis la même infraction. Erreur on ne peut plus funeste. et qui va à l'encontre de la règle d'être puni par là ou tu as péché. Ainsi, un cycliste grillant un feu rouge se verrait interdire la conduite d'une voiture mais pourrait continuer à utiliser son vélo en toute impunité ? Quelle nouvelle hérésie ! Appliquons plutôt le principe du fauteur / payeur et instaurons l'interdiction de vélo dès la première infraction. Ainsi nous libérerons nos villes des cyclistes les plus dévergondés.
    · Le cycliste fait peur dans la ville. Les enfants, les personnes âgées et même celles dans la force de l’âge n’osent plus traverser une rue en empruntant un passage piéton dès qu'un vélo apparaît alors même que par la loi, ils y sont prioritaires ! Il faut les voir s’agglutiner au bord des passages piétons attendant une accalmie dans le flot des vélos pour oser s’aventurer sur la chaussée. Spectacle indigne de notre civilisation avancée.
    · L’agressivité des cyclistes envers les autres usagers est bien connue des automobilistes.
    Déjà avant de démarrer, ne dit-on pas en effet « enfourcher sa bicyclette » (prendre par la fourche !) réminiscence d’une époque pas si lointaine où les conflits se réglaient encore à coup de fourche, là où l’automobiliste « monte dans sa voiture » expression quand même plus bucolique ! Et que dire ensuite des cris et regards méchants, voire des coups de sonnette rageurs, lancés par les cyclistes à tout ce qui approche de près ou de loin de leur monture !
    · La pollution. Tout le monde pense que le vélo est la solution au manque chronique d'oxygène et d'air pur dont souffrent nos villes. Or il n'est que nous voir haletants et suants au premier feu en haut d'une petite montée pour comprendre que pour reprendre notre souffle nous consommons 4 à 5 fois plus d'oxygène que l'automobiliste sagement assis dans sa voiture et à qui la climatisation diffuse un agréable air frais. Et pour peu que sa voiture soit d'un gros modèle (généralement de couleur noire), cette climatisation est équipée de filtres divers et variés (à particule, à pollen, à odeurs …) qui ont pour effet de nettoyer l'air aspiré et donc d'en rejeter un plus propre en dehors de l'habitacle. Sans compter la nécessité pour le cycliste de prendre une douche à l'arrivée à destination et donc de polluer encore un peu plus nos réserves si précieuses en eau. L'automobiliste et sa climatisation lui, n'aura nul besoin de douche à l'arrivée et quand bien même pour son confort il en prendrait une, l'eau en serait moins affectée car il n'aura pas de poussière collante et de sueur à évacuer.
    · Le vélo est une plaie dans les voies piétonnes. L’automobiliste à qui on a interdit de se garer devant son magasin préféré et qui de fait redevient piéton, doit encore subir nos montures et se garder de tous côtés contre nos chevauchées et là pour le coup, sans la moindre protection de tôle. Il y risque sa vie à chaque instant.
    · Quand à la conduite en état d’ivresse,même si elle doit être condamnée dans tous les cas, reconnaissons qu’elle est quand même moins risquée au volant d’une voiture, stable et nécessitant que peu d’effort et de maîtrise, plutôt qu’au guidon d’un vélo dont la stabilité déjà dangereuse à jeun, devient critique dans ce cas.
    · Enfin, les bandes cyclables ! Quelle hérésie ! Cette zone censée protéger le cycliste (de quoi ? je vous le demande ) ne sert en fait que de prétexte à une course effrénée à la vitesse en toute impunité sans tenir compte ni des automobilistes ni de leurs passagers qui tentent de sortir de leur voiture. Quel automobiliste n’a jamais risqué de se faire renverser par un vélo en ouvrant sa portière ?

    Français, on nous trompe. Vraisemblablement sous la pression du lobbying cycliste, aucun gouvernement n’a jamais osé publié d’étude sur le nombre d’automobilistes tués ou blessés à cause d’un cycliste en ville ! Combien de familles ainsi décimées, combien de nouveaux orphelins chaque année en France dans l’indifférence la plus totale ? Ainsi, je demande solennellement aux plus hautes instances politiques de notre pays de communiquer, enfin, les vrais chiffres de cette véritable hécatombe.


    Face à cette situation, vous comprendrez donc, amis cyclistes des villes, pour le bien de la communauté toute entière, et la sécurité de nos concitoyens, et en particulier des automobilistes, que je ne peux que vous demander d’arrêter le vélo avant qu’il ne soit trop tard. Ma conscience me pose même la question de savoir s’il ne faudrait pas proposer une loi interdisant toute pratique du vélo en agglomération. Je vais en parler à mon député.

    La semaine prochaine je traiterai d’un sujet qui nous préoccupe tous à la veille des vacances et qui n’est pas sans rappeler celui d’aujourd’hui: le danger que font subir les baigneurs imprudents aux conducteurs de jet-ski sur nos plages.

    A bientôt.

  • La meilleure façon d'approcher le centre ville à vélo

    A Poitiers, quand on habite ou quand on travaille en périphérie, le problème c'est de remonter sur le "plateau", autrement dit atteindre le centre ville; ça grimpe et ça peut démoraliser tout(e) cycliste convaincu(e) : peur de pas y arriver, transpiration, aggressivité des voitures. Quel est l'itinéraire malin?

    Oublier la voie rapide ou "Voie Malraux" que les poitevins appellent "la pénétrante". Cette voie rapide, sans feux et généralement sans encombrement, enjambe littéralement les faubourgs pour un accès direct au centre ville , mais elle est réservée aux bus et aux voitures.

    Oublier la rue Jean Jaurès, l'artère principale entre le Pont Neuf et la Mairie. Bus et voitures s'y croisent à peine et il ne reste pas de place pour un vélo. Si un vélo téméraire s'y aventure malgré tout, il bloque toute la rue Jean Jaurès et provoque l'irritation des automobilistes obligés d'avancer à allure réduite.

    Oublier la rue de la Chaîne à moins de diposer d'un vélo très performant et de mollets particulièrement endurcis. J'ai essayé une fois, j'ai réussi sans mettre pied à terre, mais la voiture derrière moi n'en pouvait plus et m'a finalement doublé avec rage en haut de la côte. Très mauvais pour l'entente entre cyclos et automobilistes.

    Pas grave, il reste encore la montée de Blossac, un peu raide mais c'est jouable même pour une cycliste peu entraînée comme moi. En plus, la municipalité a équipé cette rue d'une piste cyclable. Dommage que les automobilistes confondent piste cyclable et voie de stationnement : voir la note de Michel

    La vraie bonne idée, d'après les cyclistes qui pratiquent Poitiers depuis longtemps, c'est la rue de la Cathédrale à vélo : en sens unique avec peu de circulation donc peu de voitures qui vous talonnent. Un petit reproche au conducteur de la Range Rover qui m'a doublé ce matin pour se rabattre ensuite devant moi et se garer sur le trottoir. Satisfaction, il a fini à pied pour cause de rues piétonnes, moi j'ai pu garer mon vélo juste devant la Médiathèque.

  • Véloroute ou voie verte?

    Qu'est qu'une véloroute ou une voie verte? Sur le site de l'AF3V, Association Française de développement des Véloroutes et Voies Vertes c'est très bien expliqué.



    Les voies vertes sont des voies propres où tout véhicule à moteur est exclu : on peut y cotoyer des piétons, des cyclistes, des rollers. Le dimanche, certaines voies vertes peuvent être très encombrées et la circulation y est difficile. Nous l'avons constaté en 2003 en longeant le canal Rhin-Rhône à l'approche de Strasbourg : des familles, des bandes de copains, des pros qui se la jouent en maillot fluo. Bref, intéressant mais à éviter le week-end si on cherche la tranquillité.



    Les véloroutes sont des itinéraires où l'on peut cotoyer des voitures, mais la circulation y est faible : de quoi faire rêver tout cycliste urbain la véloroute des bleuets, la véloroute Nantes-Budapest, ou la route du Jura et bien sûr la Transeuropéenne.

  • Les auto-écoles donnent l'exemple

    Et il passe où encore le papy avec Jolly ?
    Vu ce matin au carrefour des 3 Bourdons:

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    Article R417-10 du Code de la Route : "Est considéré comme gênant la circulation publique, l'arrêt ou le stationnement sur le trottoir"
    Amende forfaitaire de 35 €.
    Comme m'a répondu un moniteur d'auto-école à qui je faisais remarquer que son mode de stationnement n'était pas très ... orthodoxe : "Si on devait respecter le règlement !" (véridique, j'ai même le nom)

  • Aller à vélo à l'école

    Aller à l'école à vélo c'est possible dit la FUBicy. La fédération française des usagers de la bicyclette, fédération à laquelle nous adhérons, a choisi ce thème pour le 8e congrès qui se tiendra à Amiens le 21 avril prochain.

    Un atelier présentera des expériences de ramassage scolaire à vélo en Belgique, à Grenoble. Plus près de chez nous, à Buxerolles, commune périphérique de Poitiers, il existe une expérience d'écomobilité, accompagnement des enfants à l'école à pied ou à vélo.


    Plus d'infos sur le congrès de la FUBicy sur : Picardieblog, échosvélo, la FUBicy. Même "la vie du rail" l'annonce dans son agenda.

    Bon je me fais un petit plaisir je colle ça ici :

    Le Blog Anti-Voitures

    Un geste de protestation à l'égard de l'automobiliste qui m'a klaxonnée samedi après-midi alors que je m'engageais sur le passage piétons rue Paul Guillon à Poitiers l'obligeant à attendre quelques secondes de plus. L'automobile est une arme qui fait peur. Lorsque je circule à vélo, j'appréhende l'automobiliste qui pourrait me frapper dans le dos sans que j'ai même le temps de le voir. Chaque fois qu'un automobiliste me met en danger, le premier mot qui me vient à l'esprit est assassin, puis crétin... Nous n'avons pas la même notion du danger : coincer un cycliste contre le trottoir, faire une queue de poisson, griller un stop pour brûler la priorité à un cycliste, tous ces comportements sont pour moi des tentatives d'assassinat. J'adore lire des romans policiers mais pas dans la vraie vie.

  • Bandes Cyclables Garage

    Ce n'est plus simplement l'été sur les plages qu'il faut être mince, au printemps aussi à Poitiers pour s'y déplacer !

    medium_Piste_garage.jpg

  • CPE : Bravo les blocages

    On en redemande ! C'est extra !
    Ce matin Poitiers était bloqué par les étudiants ce qui fait que plus de la moitié du chemin vers le bureau a été sans voiture qui étaient toutes coincées aux carrefours. Dommage qu'il pleuvaillait. Si you plait, la prochaine fois, prévoyez un petit rayon de soleil, le bonheur sera total.
    Ou alors, bloquez tous les matins de 7 h 30 à 8 h.
    De l'avenue Sous Blossac à l'avenue de Libération avec zéro voiture, c'est à refaire.
    Si j'osais, allez, j'ose: "Sarko,! Oh Sarko, fais durer les négos que ça se reproduise." (j'ai honte)
    Si au moins ça donnait des idées à ceux qui étaient coincés dans leur voiture !